Assientor- Introduction by DuncanGriffen, literature
Literature
Assientor- Introduction
Il ne se doutait pas en cet instant que cet accolade, ce baiser sur le front, était le dernier signe de douceur qu'il lui donnerai. Il ne se doutait pas non plus que c'était la dernière fois que cela lui chaufferai le cœur de la voir. Rabattant son capuchon de lin rouge sombre sur sa tête, il quittait cette femme dont il n'était jamais que l'amant. Elle était femme de seigneur, et lui, qu'un humble bourgeois, descendant d'une noble maison tombée en disgrâce, il n'était rien d'autre qu'un franc-coureur, un soldat à louer, au service de ce seigneur, amant de cette femme malheureuse. Il ne
Mais qu'est-ce que j'ai dans le crâne ? On me l'a souvent demandé, ce que j'avais dans le crâne. Des voyages, des rêves, des amours, des peines de cœur, des déceptions, des colères, des guerres, des peurs, des fuites, des morts, des idées noires, des rêves bleus, des coup de blues et des coup de sang. Ma tête est remplie de toute cette bile infâme puante et grouillante, on dirait un sceau rempli de larve mortel suceuse de sang, elles sucent mon sang, me vide de mon énergie et de mes envies. Au final on fini en loque infinie, sans motivation, sans détermination, comme un hom
Je compose avec les spectres de mes nuits une mélodie
Que de mauvais vents m'ont volé au coin des Landes.
Je les cherches en Provence là où les gens me sourient,
C'est plus agréable qu'avoir à affronter toutes ces sarabandes.
Je cours avec un chat roi qui rit en me voyant chuter.
Je parles de moi en espérant ainsi m'effacer,
Me déphasant dans des lignes sans régularité.
Simple style d'écriture ou bordel psychologique,
J'ai abandonné l'idée de trouver en moi toute logique.
Après tout j'aime cette contradiction,
Qui me mène entre la réalité et la fiction.
ENLARGE YURSELF (Ou, Le pourquoi du moi bipolaire) by DuncanGriffen, literature
Literature
ENLARGE YURSELF (Ou, Le pourquoi du moi bipolaire)
Nouvelle vie, mêmes erreurs.
Moi en pire mes amis, c'est amusant. Bipolarité exquise qu'est la mienne. Partagé entre une hilarité étrange et une profonde mélancolie, je me mêle à des paradoxe aussi grotesque que drôle. Je ventes la tentation quand je n'ose y céder. Je prêches le scepticisme quand je crois moi même en un bouquin millénaire. Hypocrisie socialement acceptée, d'aucun diront que je suis « différend ». J'ai toujours vécu ma différence, cette espèce de bipolarité comme une souffrance, le regard des autres, leurs mots.
On cherche on court, on tombe et on pleure.
Le monde nous soumet à ses caprices incessant et nos cœurs se brisent comme la fragile porcelaine de l'est.
Je marches encore et toujours dans l'ombre d'une idée, d'une idée de vie.
Je marches encore et toujours dans l'ombre, dans l'ombre d'une phrase, dans l'ombre de mots, dans l'ombre de toi, de nous, de ce que nous étions de ce que nous serons.
Je marches à l'ombre car le soleil brule ma peau comme Phaéton foudroyé si sur le char céleste.
Je marches à l'ombre car tu as pris tout les rayons du soleil pour les porter sur ta tête et me tuer
Mais qu'est-ce que j'ai dans le crâne ? On me l'a souvent demandé, ce que j'avais dans le crâne. Des voyages, des rêves, des amours, des peines de cœur, des déceptions, des colères, des guerres, des peurs, des fuites, des morts, des idées noires, des rêves bleus, des coup de blues et des coup de sang. Ma tête est remplie de toute cette bile infâme puante et grouillante, on dirait un sceau rempli de larve mortel suceuse de sang, elles sucent mon sang, me vide de mon énergie et de mes envies. Au final on fini en loque infinie, sans motivation, sans détermination, comme un hom
Je compose avec les spectres de mes nuits une mélodie
Que de mauvais vents m'ont volé au coin des Landes.
Je les cherches en Provence là où les gens me sourient,
C'est plus agréable qu'avoir à affronter toutes ces sarabandes.
Je cours avec un chat roi qui rit en me voyant chuter.
Je parles de moi en espérant ainsi m'effacer,
Me déphasant dans des lignes sans régularité.
Simple style d'écriture ou bordel psychologique,
J'ai abandonné l'idée de trouver en moi toute logique.
Après tout j'aime cette contradiction,
Qui me mène entre la réalité et la fiction.
ENLARGE YURSELF (Ou, Le pourquoi du moi bipolaire) by DuncanGriffen, literature
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ENLARGE YURSELF (Ou, Le pourquoi du moi bipolaire)
Nouvelle vie, mêmes erreurs.
Moi en pire mes amis, c'est amusant. Bipolarité exquise qu'est la mienne. Partagé entre une hilarité étrange et une profonde mélancolie, je me mêle à des paradoxe aussi grotesque que drôle. Je ventes la tentation quand je n'ose y céder. Je prêches le scepticisme quand je crois moi même en un bouquin millénaire. Hypocrisie socialement acceptée, d'aucun diront que je suis « différend ». J'ai toujours vécu ma différence, cette espèce de bipolarité comme une souffrance, le regard des autres, leurs mots.
On cherche on court, on tombe et on pleure.
Le monde nous soumet à ses caprices incessant et nos cœurs se brisent comme la fragile porcelaine de l'est.
Je marches encore et toujours dans l'ombre d'une idée, d'une idée de vie.
Je marches encore et toujours dans l'ombre, dans l'ombre d'une phrase, dans l'ombre de mots, dans l'ombre de toi, de nous, de ce que nous étions de ce que nous serons.
Je marches à l'ombre car le soleil brule ma peau comme Phaéton foudroyé si sur le char céleste.
Je marches à l'ombre car tu as pris tout les rayons du soleil pour les porter sur ta tête et me tuer
Je tiens à préciser pour ceux qui pourrait trouver des fautes d’orthographes que je souffre de dyslexie (entre autre, j'ai d'autre dys bien sympa) voilà voilà, bonne lecture à vous